Thyez, au cœur de la Haute-Savoie
Ingénierie des produits à l’ENSE3, Grenoble INP
Ski alpin, ski de randonnée, ski de fond, trail running, karaté, athlétisme
Le saucisson et les spécialités savoyardes.
Être vissé à sa chaise toute la journée.
« La montagne, ça vous gagne ! »
Habitant en Haute-Savoie, je suis naturellement devenu un passionné de montagne et en particulier de sports de montagne. A l’âge de 3 ans, je mets la première fois le pied sur un ski, et c’est de là que démarre mon attrait pour les sports de glisse : ski alpin, ski de randonnée, ski de fond… Mais la montagne, je la parcours aussi en été. Ancien sprinteur, je me mets progressivement au trail pour revenir au plus près des sommets qui m’attirent tant. Depuis quelques années déjà, je partage ma passion grâce au statut de moniteur fédéral de ski alpin.
La montagne, j’aime aussi y camper avec mes amis et y vivre un peu à la dure (ne prenez pas peur, l’utilisation du « y » à tout va est typique de par chez nous), en particulier en tant que membre actif des Scouts de la région de Cluses depuis l’âge de 12 ans. Aujourd’hui, je fais partie de l’encadrement de ce mouvement, afin de partager avec les plus jeunes toutes les valeurs qu’il m’a inculquées.
Au niveau scolaire, en tant que passionné de sport, je me destine à la conception de produits et de matériels sportifs. Pour se faire, j’intègre tout d’abord la Prépa des INP de Grenoble (oui, vous l’aurez compris il ne faut pas trop s’éloigner des montagnes) où je rencontre Aubin, Jérémy et Thibaud, les 3 rigolos qui m’accompagneront au Népal. Mon cursus se poursuit ensuite à l’école d’ingénieur ENSE3 (oui toujours à Grenoble…) et en particulier dans la filière Ingénierie de Produits.
C’est des rêves pleins la tête, tant au niveau professionnel que personnel, que je me rendrai au Népal en septembre, pour vivre une aventure inoubliable avec des copains de qualité.
Bourret vu par les autres
Malbiche
Bourret, c’est assez simple de le définir : il coupe des troncs à mains nues et mange de l’ours au goûter. Si vous oubliez ses expressions de haut-savoyard incompréhensibles (« Ça fait pas rire les patates à la cave », « Ça tourne avec l’oreille »), c’est quelqu’un de
presquetout à fait normal !
Bigé
François, par sa robustesse et grâce à ses cuissots comparables à des poteaux électriques, il serait capable de tous nous porter, pendant toute la traversée.
400 lieues sur la Terre 